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Une aventure familiale
C’est en 1890, à Peyrins dans la Drôme, qu’Ulysse Pilaud crée la pépinière sur 5 hectares et devient une référence en matière de bouture de vigne.
En 1935, son fils André commence la production de plants fruitiers et ornementaux.
En 1970, la pépinière Pilaud intègre la culture hors-sol grâce à l’arrivée des conteneurs en plastique. La pépinière étend alors sa surface de culture à 28 hectares.
En 2000, l’entreprise innove en intégrant la technique de contre-plantation des végétaux de pleine terre. La pépinière propose alors des arbres, arbustes et conifères de taille plus importante.
Pilaud, c’est 9000 cépées et 3000 conifères par an.
Tous les végétaux sont identifiés et Pilaud peut, si besoin, doter ses plants de marquages inviolables.
Les branches des sujets à arracher et à expédier sont attachées par une lieuse, ou manuellement pour les plus fragiles, afin d’éviter toute casse ou blessure. L’arrachage mécanique permet d’obtenir des mottes de 30 cm à 130 cm constituées d’une tontine en toile de jute et d’un panier à base de fil de fer recuit pour que tout soit biodégradé en 2 ans.
Pilaud, c’est 40,000 arbres tiges par an dont 9,000 contreplantés (3xTr) pour obtenir des tailles 8/10 à 25/30.
Pilaud pratique la rotation des cultures et la fertilisation naturelle des sols pour le respect de l’environnement. Les jeunes plants proviennent essentiellement de pépinières de multiplication de France.
Un cahier des charges et un contrôle qualité exigeants
La culture hors-sol chez Pilaud fait l’objet d’une organisation rigoureuse allant des achats, à la livraison en passant par la production. La qualité des produits et du service, la gestion des coûts et la protection de l’environnement font parti des priorités avec plusieurs étapes de contrôle.
Pilaud sélectionne des variétés résistantes aux maladies et à la sécheresse chez ses fournisseurs.
La qualité « PILAUD
? Une sélection rigoureuse des jeunes plants
? Des distances de plantation optimales pour partie aérienne harmonieuse.
? Des transplantations successives et régulières.
? Des fertilisations et traitements mesurés pour ne pas altérer l’activité microbienne du terrain.
? Un travail mécanique du terrain pour éviter des excès d’irrigation et obtenir des racines riches en radicelles.
? Des tailles de formation en hiver et d’entretien en été.
? Une surveillance continue de l’état de santé des plantes. Une prévention rigoureuse des maladies pour éviter les traitements chimiques, tout en garantissant un état sanitaire parfait.
? Un aspect trapu et bien proportionné des plantes gràce à une pousse régulière, un bon espacement des cultures, des techniques de taille et de culture maîtrisées.